pharma-fiches

des cours sous forme de fiches

Dimanche 29 mai 2011 à 23:58

Les phases de la mitose

I)  L'interphase

Avant la mitose 
Accroissement du volume cellulaire
Transcription des gènes et réplication des chromosomes (sous forme de chromatine).  
Doublement de chaque chromosome à deux
chromatides
Subdivisée en plusieurs phases.

  • La phase G  : croissance de la cellule croît et fonctions habituelles : synthèse protéique... -> détermination de la taille finale des cellules filles .
  • La phase S (pour Synthèse) : matériel chromosomique doublé par duplication
  • La phase G2  : idem phase G1.
II) La prophase

Filaments de plus en plus nets
Matériel génétique se condense
chromosomes (du aux protéines histones phosphorylées, entraînant un enroulement accru de l'ADN).
Matériel génétique dupliqué avant mitose donc deux copies identiques du génotype dans chaque
cellule.
Chromosomes : deux
chromatides sœurs avec la même information génétique. Présence d'un centromère intervenant dans la ségrégation des Chromosomes et reliant les 2 chromatides (via cohésine).
Ce
ntrosome, composé de deux centrioles : dupliqué la prophase (en 4 centrioles), séparé durant la prophase, formant deux centrosomes qui se déplacent chacun vers un pôle. 
C
ytosquelette forme le fuseau mitotique, structure entre les deux centrosomes : croissance des microtubules -> allongement du cytosquelette -> étirement du noyau cellulaire.

III)  La métaphase


Rassemblement des chromosomes au milieu de la cellule  : plaque équatoriale.
Alignement au niveau des centromères, à mi-chemin des deux pôles.


IV) L'anaphase


Rapide
Séparation des
chromatides soeurs (grâce à une augmentation du Ca intracellulaire) et migration à chaque pôle de la cellule grrâce aux microtubules.

V)  La télophase


Décondennsation des chromatides sœurs
Reformation enveloppe nucléaire et nucléoles


VI)  La cytocinèse


Après mitose. 
Sillon de division sépare la cellule en deux grâce à un anneau contractile composé d'
actine et de myosine.
Le sillon se resserre jusqu'à séparation des deux cellules filles. 
Finalisation de l'enveloppe nucléaire et des
nucléoles .



Mercredi 25 mai 2011 à 22:29

Le réticulum endoplasmique (RE)

 

I)                    Morphologie.

 

-          Membranes délimitant des cavités ou citernes réparties dans le cytoplasme.

-          Communiquant entre elles par un réseau.

-          Structure comparable à la membrane plasmique.

·         REG = réticulum endoplasmique granuleux.

o   Ribosomes à l’extérieur = "granuleux".

o   Ribosomes 60S.

·        REL = réticulum endoplasmique lisse.

o   Sans ribosomes.

-          Contenu des citernes : amorphe, fluide aqueux, présence parfois de granules ou de cristaux.

-          Répartition variable selon l’activité de la cellule :

·         REG dans les cellules synthétisant protéines et glycoprotéines.

·         REL dans cellules synthétisant des hormones stéroïdes ou métabolisant des lipides.

-          Répartition variable selon l’état physiologique de la cellule : absent dans les cellules embryonnaires, se développe au cours de la différenciation cellulaire.

 

II)                  Composition chimique.

 

-          Composition chimique globale de la membrane :

         Moins de lipides / membrane plasmique.

        Plus de protéines.

        Moins de phospholipides 
   Moins de glycoprotéines.

   Chaînes d’acides gras moins longues et moins saturées : membrane plus fluide.

-          Protéines membranaires :

    Plus ou moins intégrées à la membrane
Glucose-6-phosphatase, glycosyl-transférase, nucléoside dephosphatase intégrés vers l’intérieur.

Cytochrome P450 intégré entièrement.

NADPH-cytochrome P450 réductase, NADPH-cytochrome b5 réductase, cytochrome b5 intégrés vers l’extérieur.

Ne manifestent leur activité que dans un environnement lipidique. 
-          Contenu du RE :

·         Variable.

·         Plasmocytes : immunoglobulines.

·         Fibroblastes : précurseurs du collagène.

·         Cellules du pancréas : hydrolases.

 

III)                Rôles physiologiques.

 

-          Traduction des protéines.

 

A)     Phénomènes co-traductionnels.

 

-          ARNm travaillent librement dans le cytoplasme et fonctionne en collaboration avec les ribosomes liés à la membrane du RE.

-          Ribosomes lisent l’RANm de 5’ en 3’.

-          La queue polyA de l’ARNm s’attache à un site spécifique. La lecture commence par un codon AUG lorsque les 2 sous-unités du ribosome sont en place -> synthèse du polypeptide commencant par une séquence signal de 16-30 acides aminés hydrophobes -> reconnaissance par des protéines (ribophorines). Il y a alors entrée de du polypeptide dans le RE. 

Autre type de synthèse de protéines dans le cytoplasme, fait appel à de l’ARNm et à des ribosomes libres -> synthèse de protéines cytosoliques solubles, de protéines de membrane extrinsèques, de protéines de mitochondries codées par l’ADN nucléaire et de protéines de peroxysomes.

-          Ribosomes mitochondriaux : toutes les protéines codées par l’ADN mitochondrial

B)      Réseau de circulation et de stockage.

 

-          Compartiment du RE dans lequel migrent les substances endogènes.

-          Phase de stockage : au niveau des citernes où il peut y avoir glycosylation, hydroxylation.

-          Les molécules mises à part ne passent plus jamais dans le cytoplasme. Destinées à être évacuées dans d’autres compartiments du système endo-membranaire : après transfert dans l’appareil de Golgi, mise en réserve dans le lysosome ou transporté secondairement dans le milieu extra-cellulaire.

 

C)      Transformation enzymatiques.

 

-          Clivage protéolytique : pro-hormones, clivées en partie pour donner l’hormone mature (pro-insuline > insuline).

-          Glycoprotéines : glycosyl transférase fixant des sucres sur des peptides en formation.

Mercredi 25 mai 2011 à 22:28

Les tissus musculaires
 
Tout sur les tissus musculaires, c'est ICI 
I)                    Origine
 
-          Cellule jeune : myoblaste.
-          Cellule adulte : myocyte.
-          Propriétés :
·         Moteur biologique : transforme l'énergie chimique en énergie mécanique ->mouvement.
·         Contractilité.
·         Excitabilité : reçoit et réagit à une information -> contractilité.
·         Conduction : conduit l’information dans la cellule puis aux autres cellules.
-          3 types de cellules musculaires :
·         Adbomyocyte : cellules des muscles squelettiques, cellules musculaires striées.
·         Léiomyocytes : cellules musculaires lisses.
·         Cardiomyocytes : cellules du cœur.
-          Composants internes disposés longitudinalement (abdomyocytes : striation verticale supplémentaire).
 
II)                  Le muscle strié : muscle squelettique
 
-          Mouvements et glissement des pièces squelettiques.
-          Plusieurs éléments :
·         Striations longitudinales dues aux myofibrilles et transversales.
·         Cellules longues, cylindriques, mltinuclées (syncitium) 
-          Myofibrilles groupées en faisceaux : champs de Conhun.
-          Cytoplasme : sarcoplasme.
-          Noyau et membrane plasmique : sarcolemne.
-          Motif répété tout le temps : le sarcomère
·         Bandes sombres ou bandes A (A = aminotropes) et bandes claires ou bandes I (I = isotropes).
·         Au milieu des bandes I : bande Z
·         Au milieu des bandes A : bande plus claire : bande H.
·         Sarcomère : entre deux bandes Z : une bande A, avec de chaque côté une demie bande 
Au niveau des bandes H : filaments à répartition hexagonale.
 Au niveau des bandes A : répartition hexagonale où un filament épais est entouré par 6 filaments fins.
Au niveau des bandes Z : répartition quadratique (en carré) entre myofilaments fins et épais.
·         Torsion à l’intérieur du sarcomère entre filaments fins et épais.
·         Filaments épais :
o   Myosine.
o   Filament surmonté d’excroissances : "tentacules" disposées selon une sinusoïde (angle constant)          ->proximité entre filaments fins et épais. 
·         Absence d’excroissance au milieu du sarcomère : zone H.
·         Méromyosine lourde :
o   Méromyosine légère attachée à la méromyosine lourde.
o   La lourde a deux sites de fixation : un sur l’actine (filament fin) et un de l’ATP (ATPase qui hydrolyse l’ATP pour la transformer en énergie mécanique).
·         Filament fin :
o   Homogène.
o   Association de plusieurs molécules d’actine > couple actine-myosine.
o   Tropomyosine : support de la torsade d’actine.
o   Complexe de troponine : rôle important dans la contraction musculaire.
·         Proximité filaments fins / épais grâce aux excroissances (=ponts d’union).
·         Contraction du muscle : contact filaments fins / épais.
·         Système de cohésion dans sarcomère :
o   Système endosarcomérique : attache permettant aux filaments de rester en place les uns par rapport aux autres : filaments de titines ou de connectines permettant le maintien du sarcomère, et de maintenir aligner les filaments et de s’opposer à un étirement excessif.
o   Système sous-sarcomérique : compliqué et présent dans toutes les fibres musculaires.
Dystrophine sous la membrane de tous les myocytes (chromosome X, si absence : myopathie de duchenne).
Association d’autres protéines à la dystrophine : accrochage avec la MEC
Importance dans la cohésion à l’intérieur du sarcomère.
·         Costamères : accrochage sarcomère à la membrane. Au niveau des bandes Z, protéines accrochant la strie Z, liées à une intégrine, elle-même liée à la membrane cellulaire : densification entre la membrane et la strie Z.
·         Sarcomère : édifice fragile -> attaches permettant au sarcomère d’assurer sa fonction.
 
-          Réticulum sarcoplasmique :
·         Très développé.
·         Recouvre les myofilaments.
·         Structure tubulaire entre les disques sombres et clairs et citernes terminales : stocke Ca sortant et entrant lors de la contraction musculaire 
 
-          Deux types de myocytes :
·         Type I : contraction lente, beaucoup de force (fonction posturale)
·         Type II : contraction rapide, peu de force (fonction phasique)
 
-          Architecture du muscle :
·         Cellules musculaires formant des faisceaux et éléments du tissu conjonctif
·         Beaucoup de capillaires aplatis au repos. En activité : ouverts et irriguent abondamment le muscle.
·         Accroché à l’os par des tendons ou aponévroses ou par des fibres de collagène en liaison entre le muscle et l’os.
·         Innervation importante : 1 nerf moteur pour chaque muscle.
o   Isochronisme neuromusculaire.
o   Plaque motrice (à proximité, non fusionné) via substance chimique, contrôle le muscle.
·         Dans chaque muscle, « palpeur » renseignant sur le degré d’étirement du muscle : tonicité musculaire. C’est un fuseau neuromusculaire qui entoure quelques fibres : innervation sensitive.
 
III)                Muscle lisse
 
-          Cellule musculaire lisse :
·         Système longidine.
·         Noyau central, myofilaments, sarcolemne.
·         De chaque côté du noyau : cônes sarcoplasmiques avec les organites.
·         Zones denses à l’intérieur de la cellule et contre la membrane.
·         Cellules jointives via desmosomes, peu de MEC, présence de zones sombres : zone où s’accroche les myofilaments.
·         Fusion de 2 cellules : nexus ou gap-jonction permettant à l’information de passer d’une cellule à l’autre -> synergie. 
·         Autour de la cellule : membrane calvéolaire (comportant des calvéoles) accrochant des complexes protéiniques.
·         Myofilaments : actine et myosine en faisceaux irréguliers. Filaments avec complexe tropomyosine ( pas de complexe troponine).
-          Architecture des cellules musculaires lisses :
·         Isolées dans un tissu :
o   Vaisseaux, artères de moyen calibre (tonicité).
o   Autour des glandes exocrines (excrétion).
o   Myofibroblastes : structure intermédiaire entre le fibroblaste et la cellule musculaire lisse, contractile.
·         Tunique musculaire : cellules musculaires lisses les plus nombreuses.
o   Le long du tube digestif.
o   Estomac.
o   Organes creux, voies aériennes, urinaires.
·         Muscles isolés, individualisés :
o   Follicules pilo-sébacé : muscle érecteur du poil.
o   Iris : muscle constricteur de l’iris (myosis) et muscle dilatateur (mydriase).
o   Utérus : myomètre.
 
-          Commande des muscles lisses :
·         Non commandés par la volonté (inconscient, involontaire).
·         Terminaisons nerveuses libres arrivant sur le muscle (système nerveux végétatif).
·         Une terminaison activatrice et une terminaison inhibitrice.
·         Commande : nerveuse, mécanique ou hormonale.
 
 
IV)               Le muscle cardiaque
 
-          Cellules : cardiomyocytes, cellules myocardiques, cellules cardiaques.
-          Striations transversales.
-          Uninuclée, digitées, forme de cylindre bifurqué, formant un réseau 3D
-          Autour du noyau, zones claires avec organites.
-          A la limite de deux cellules : striation scalariformes (numéro 5 sur le schéma) : jonction entre deux cellules, stries formées par une succession de desmosomes puis de zonula occludens. Assure la cohésion entre les cellules et permet la diffusion rapide des ordres de contraction.
-          Sarcomère ressemblant à celui de la cellule musculaire striée mais abondance de mitochondries de grandes tailles
-          Alternance bandes sombres / claires, présence de la ligne Z.
-          Myofibrilles moins bien individualisée.
-          Réticulum sarcoplasmique : chétif : pas de citerne, pas de triade.
-          Gouttelettes lipidiques métabolisées par le muscle cardiaque.
-          Myoglobine, ATPase.
-          Vascularisé
 

·         Forment des nœuds : nœud de Keith et Flack, nœud d’Aschow Tawara.
      Forment le réseau de His et le réseau de Purkinje 
                  Caractérisé par un potentiel de repos, non stable : automatisme
En dehors des cellules, tissu conjonctif avec capillaires sanguins, lymphoctes et fibres de collagène.
-         Innervations :
·         Automatisme intrinsèque provenant du cœur lui-même.
·         Fibres nerveuses à terminaisons libres du système nerveux végétatif permettant d’accélérer ou ralentir le rythme cardiaque.
 
 
V)     Contraction musculaire
               
 
-         Motricité, force et mouvement 
-         Propriétés :
·         Elasticité : glissement entre filaments fins et épais. Rôle d’amortisseur : mouvements plus harmonieux, meilleur rendement.
·         Excitabilité : toujours excitable de la même façon. Libération au niveau de la plaque motrice d’un neuromédiateur (acétylcholine = Ach) stimulant le muscle.
·         Conduction : information se diffusant partout à grande vitesse.
-         Contraction musculaire : excitation du muscle grâce à une suite de phénomènes qui se traduisent par un mouvement du muscle : production de force par le muscle.
-         Contraction isotonique : amenant un effort (relâchement : exocentrique)
·         Relation force développée et longueur du muscle : force maximum développée quand le muscle est un peu étiré, quand il dépasse sa longueur de repos.
·         Chaque mouvement fait va intéresser au minimum deux muscles :
o   Muscle qui fait le mouvement : muscle agoniste.
o   Muscle qui se laisse faire, qui se relâche : muscle antagoniste.
-         Contraction isométrique : support de charge, pas de mouvement
·         Equilibre entre tension développée par les muscles et charge.
·         Maintien d’une attitude, de la position debout.
-         Phénomènes d’accompagnement :
·         Avant contraction  : potentiel d’action au niveau de la plaque motrice
·         Phénomènes thermiques : dégagement de chaleur pendant contraction et périodes de décontraction (chaleur constante) et de chaleur retardé (reconstitution des réserves énergétiques : dépend de la dépense énergétique qui a eu lieu).
-         Fatigue musculaire : stimulation de nombreuses fois un même muscle -> fatigue et réponse moindre à de nouvelles stimulations. Amplitude diminuée -> crampes, accumulation de déchets métaboliques.
-         Mécanisme de la contraction musculaire :
·         Sarcomère :
o   Etirement : bandes sombres identiques, bandes I augmentent.
o   Contraction : bandes sombres identiques, bandes I diminuent.
o   Mouvements de glissement entre filaments fins et épais.
·         Contraction : pont d’union qui s’accroche à l’actine, la poussant d’un cran -> glissement des filaments d’actine entre les filaments épais.
·         Repos : filaments de myosine et d’actine interdits de contact.
 
-         Résumé :
·         Libération d’Ach au niveau de la plaque motrice
·         Potentiel d’action (PA)
·         PA traverse la cellule musculaire d’un coup par les tubules T
·          Sorti du Ca du réticulum sarcoplasmique, grâce au PA
·         Fixation du Ca sur la troponine
·         Mouvement
·         Retour du Ca dans le réticulum sarcoplasmique : contraction stoppée

Dimanche 15 mai 2011 à 19:00

Les sites à visiter


Biologie cellulaire : ce site regroupe les méthode d'études des cellules ainsi que les éléments cellulaires détaillés. C'est ICI

Biologie cellulaire : tout le nécessaire de bio cell sous forme de fiches : fiches de cours, TD, annales. C'est
ICI

Physiologie / anatomie : des schémas détaillés d'anatomie. C'est
ICI

Site de la faculté de Lyo, regroupant certains cours de la PACES mis en ligne par les professeurs. C'est
ICI
(fichiers à télécharger)

Des cours
complets de biologie cellulaire sous forme de diaporamas. C'est
ICI

Cours d'histoligie ICI

Tous les organites des cellules eucaryotes
ICI

Lundi 7 février 2011 à 17:16

Le chondriome

 

I) Définition

 

-          Ensemble des chondriosomes des mitochondries.

-          Ensemble de graines et de bâtonnets que l’on nomme chondriosomes ou mitochondrie.


Schéma de la mitochondrie :
ICI
ICI,
un article complet sur les mitochondries

 
II) Structure

 

-          Bâtonnets de 1-7µm de long, d’un diamètre de 0.5µm.

-          Mobiles

-          Contraction et déformation.

-          Répartition aléatoire, ou au contraire à un pôle.

-          Nombre fonction de l'énergie nécessaire à la cellule.

-          Conversion de l’énergie en ATP.

-          ATP-SOME :

·         Sphère de 10nm de diamètre :

o   10 sous-unités protéiques.

o   ATP-synthétase.

·         Pédicule de 5nm de haut :

o   Canal ionophore à protons.

Scéma de l'ATPsome : ICI
ICI,
rappel de la synthèse d'ATP via l'ATP synthase

 

-          Membrane externe :

·         Simple membrane symétrique.

·         15 enzymes du métabolisme des protéines : mono-amine oxydase

·         Chaîne transporteuse d’électrons (cytochrome b5 + NADH déshydrogénase)    ICI, le schéma de la chaîne et son fonctionnement

·         Porine (passage de molécules de PM≤10.000D

 

-          Espace inter-membranaire :

·         Adénylkinase permettant la synthèse d’ADP, précurseur de l’ATP.

 

-          Matrice :

·         Granules de Mg++ ou Ca++

·         H2PO4-

·         ADP

·         ATP

·         Coenzyme A

·         Enzyme de glycolyse et du cycle de Krebs

·         ADN, ARNm, ARNt, ARNr, ARN mitochondriaux.

 

-          Membrane interne :

·         Simple membrane asymétrique

·         Très imperméable 

·         Protéines : environ une soixantaine, dont protéines transporteuses 

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